
Entre cyclotourisme, courses cyclistes amateurs et passages du Tour de France, ce sport populaire a toujours eu une bonne place à Acigné.
C’est en 1921 que le monument aux morts d’Acigné fut érigé. Il mentionne 74 noms d’acignolais morts à la guerre de 14-18. Mais, si on regarde de plus près, ce sont 84 natifs d’Acigné qui y laissèrent la vie. La différence ce sont, en ces temps d’exode rural, ceux qui étaient partis ailleurs et qui sont inscrits sur le monument au morts de leur commune d’adoption.
Itinéraire du patrimoine dans le centre d’Acigné suggéré aux promeneurs.
Pierre Anger, un Acignolais adepte des prises de vue photographiques et cinématographiques, nous a laissé des images précieuses de la Libération d’Acigné et de Rennes en 1944, prises avec un à propos remarquable.
Du temps de Charlemagne, quelques traces sont restées sur notre territoire, qu’Alain Racineux nous présentent.
Fille d’une couturière et d’un tailleur d’Acigné, Anna Duveau y est née en 1893. Installée à Rennes et y exerçant le métier de couturière, elle entra dans la Résistance en 1943. Arrêtée et déportée par l’occupant, de même que son fils, ils moururent l’un et l’autre en camp en Allemagne en 1944.
A quoi ressemblait Acigné cinquante ans avant la Révolution française ? C’est ce qu’un acte juridique du marquis d’Acigné de 1745 nous permet d’entrevoir.