Association Culturelle et Historique d'Acigné
Encadrées par les notables, ces fêtes annuelles tournaient entre les communes du canton et avaient pour but de populariser les nouvelles techniques agricoles en attribuant primes et médailles aux cultivateurs méritants. Les comices furent aussi de grands moments politiques.
La réforme protestante ne toucha qu’une faible fraction de la population bretonne. Mais cette fraction, gravitant autour de quelques puissantes familles comme les Acigné, eut à l’époque beaucoup de poids dans la province.
Une équipe de pionniers de la course Acigné au féminin nous relate les débuts et la montée en puissance de la première course à pied dédiée aux femmes en France.
Le village acignolais d’Épinais fut le berceau d’une famille qui devint puissante, mais après avoir déménagé près de Vitré. Retrouvez la destinée de cette famille que l’on avait un peu oublié à Acigné, jusqu’à perdre le souvenir de son château d’origine.
La présentation de cette compilation de chartes du Haut Moyen Âge en fac-similé est une invitation à consulter ou emprunter ce beau livre disponible dans le fonds local de la médiathèque d’Acigné.
L’auberge principale d’Acigné apparait à plusieurs reprises sur des représentations du XIXe siècle, permettant un petit voyage dans le temps à un endroit familier des Acignolais.
En 1999, le tronçon Est de la rocade de Rennes était mis en service, bouclant le circuit périphérique. Ce dernier segment finalisait le modelage de la ville-archipel de Rennes tout en positionnant Acigné à bonne portée.
Noël du Fail, le Rabelais breton, met en scène des ruraux de la région rennaise dans ses romans facétieux, avec des expressions imagées mais surprenantes pour l’homme du 21e siècle. A travers ces métaphores transparait l’univers culturel des contemporains de l’auteur, à l’époque de la Renaissance.
Pendant l’Occupation, un Rennais réfractaire au STO (service du travail obligatoire), Maurice Arondel, se cacha à la ferme de la famille Maignan de Bout de Lande, sur la route de Servon-sur-Vilaine, à l’Est d’Acigné. Chose rare à l’époque, il avait…
Les chiens enragés, quand ce n’était pas les loups, semaient la panique au 19e siècle. Et il avait de quoi quand on lit les rapports des maires, gendarmes et préfets d’Ille-et-Vilaine. Ce n’est qu’au 20e siècle que cette terrible maladie régressa, grâce aux dispositions prisent pour la prévenir et à Louis Pasteur.